« J’étais compagnon, je suis devenu franc-maçon. Les bases sont les mêmes : le compagnonnage est opératif et la franc-maçonnerie spéculative. Le vrai franc-maçon, pour moi, pour un profane, c’est quand on voit quelqu’un et qu’on se dit : « Celui-là, il n’est pas
comme les autres . La franc-maçonnerie m’a permis de m’élever intellectuellement. «
Joël Robuchon – La Nouvelle République – 08/02/2014
Je reprends ce texte de Noé lamech de http://www.gadlu.info/
Cela me rappelle mon père qui était artisan boulanger et qui , aprés son apprentisage, est parti faire son voyage de compagnon avant de devenir maitre artisan. Il est devenu Maitre Maçon dans une loge du Grand Orient de France.
Pour lui la F.M. était un complément lui permettant de devenir un artisan complet de façon opératif et intellectuel.
C'est marrant comme les propos de Joël Robuchon rappellent ceux de mon père.